Les tests microbiologiques sont celles qui fournissent des informations sur la diversité microbiologique du sol.
Cette diversité est composée de :
1. Organismes vivants tels que les bactéries (unicellulaires) et les archées (unicellulaires), tous deux organismes procaryotes (noyaux indifférenciés), et d'autre part les organismes eucaryotes (avec noyaux différenciés) tels que les algues (unicellulaires ou multicellulaires), les protozoaires (unicellulaires ou multicellulaires), les champignons (unicellulaires ou multicellulaires) et les helminthes (parasites multicellulaires).
2. Agents infectieux non vivantstels que les virus, les viroïdes et les prions.
Les les méthodes d'étude sont différenciés grâce à des techniques de culture applicables.
On peut donc parler d'isolement sur plaque, de NPP, de milieu sélectif...
Ou techniques de culture indépendantes, études basées sur l'ADN/ARN, identification moléculaire (séquençage de l'ADN), quantification microbiologique (qPCR)...
Les analyses les plus courantes sont celles des communautés microbiennes totales d'eubactéries, d'archées et de champignons.
Tests microbiologiques dans le cadre de l'entretien des terrains de golf :
Les résultats obtenus sur les greens sont de l'ordre de 10*10 <8 UFC de bactéries par gramme de sol.
Plus d'informations : Le la respiration Edaphique Basal
Il existe d'autres méthodes indirectes pour la détermination de la masse microbienne dans son ensemble, déterminée au moyen de la méthode de l'analyse de la masse microbienne. Respiration basale du solLa population microbienne totale est estimée par la libération de CO2 à partir d'un échantillon de sol incubé dans des conditions de température et d'humidité prédéfinies. La respiration de la masse microbienne sera utilisée pour établir une corrélation avec la masse microbienne totale. Il s'agira d'une détermination quantitative et non qualitative.. Les résultats obtenus sur les greens sont de l'ordre de 0,20 +- 0,05 mg C-CO2/Kg-heure, ce qui indique que les résultats obtenus sur les greens sont de l'ordre de 1,5 mg C-CO2/Kg-heure. nous avons affaire à une faible charge microbienne, comparée aux sols agricoles..